x.Général.x
Nom : Dey
Prénom : Kouta
Âge : 16 ans
Sexe : Mâââsculin
Tendence sexuelle (bi, homo / hétéro) : bisexuel à petite tendance homo
x.Personnalité.x
Description moral (5 lignes) :
Le calme. C'est ce qu'on lit en permanence sur le visage du jeune Kouta. Il semble d'un calme olympique. Il est d'une douceur parfois étonnante. Toujours présent pour aider ses amis. Il aime sourire, il aime voir les autres sourire. Enfin, c'est ce qu'il laisse paraître. Oui, il laisse voir au monde sa joie, sa bonne humeur et tous ses bons côtés qu'il possède.
Mais laissez moi vous présenter l'autre Kouta. Pas celui qui est présent pour tut le monde, non, celui qui dors et se réveille si rarement. Celui d'un extrême violence. Celui qui aime le sang. Celui qui aime voir ses ennemis souffrir. Oui, celui là même qui dors en le petit ange. Celui qui utilise l'intelligence et le magnianisme du premier. Oui, Kouta est une véritable monstre quand il le veut. Mais au fond, ces deux êtres cachent le même secret. Ils cachent une souffrance et une tristesse en permanence dans le coeur du jeune garçon.
Caché derrière le gentil et solide adolescent, caché derrière le terrifiant sauvage, il existe encore une troisième Kouta, un Kouta faible et en pérpétuelle souffrance. Le véritable Kouta que personna n'a jamais vu. C'est lui !
Description physique ( 5 lignes) :
De petites jambes fines et blanches portent une buste ni trop maigre, ni pas assez. Ce buste possède deux bras fins et blancs qui cachent une force étonnante. Au bout de ses deux bras, on trouve des mains d'une finesse et d'une douceur rare. Des longs doigts fins ornent les peaumes délicates. Au dessus du torse en croissance, on voit la naissance d'un cou délicat qui porte un visage aux traits fins. un visage angélique. un visage d'une beauté étrange. Un visage orné de magnifiques cheveux noirs qui reflètent si bien le soleil. Des cheveux qui volent au gré du vent. Des cheveux rarement coiffé mais qui lui vont toujours très bien, à ce visage. Ce visage imberbe qui possède une bouche si fine, une bouche qui donne envie de la goûter, une bouche qu'on a envie de toucher du bout des doigts avec douceur. Ce visage possédants deux yeux aux reflets violines mais dans lesquels on aperçois, quand on à la chance de regarder le visage longtemps, une once de tristesse. Oui, c'est un corps très fins que possède Kouta, un corps d'une finesse magique, mais un corps d'une beauté magnifique.
Ce corps est généralement vêtu d'une paire de baskets blanches, d'un pantalon ou d'un jean blanc, d'une chemise blanche et d'une cravate noire, ainsi que parfois d'une veste blanche. Quant au souvêtement, il faudra arriver à lui enlever ses vêtements pour le savoir
Histoire ( 10 lignes ) :
La naissance. Phénomène miraculeux où une femme donne la vie à un enfant. Les pleurs sont la première chose que l'enfant à le droit de dire. Des cris de protestations. Des cris pour mettre de l'air dans les poumons. C'est par là que commence une vie normale. Prenons un autre cas.
La mère est à l'hôpital, la mère est malade. La mère décède d'une tumeur au cerveau. L'enfant est dans le ventre. l'enfant n'a que huis petits mois. L'enfant est en danger. L'enfant à le cordon ombilical autour du cou. Les médecins passent longtemps à ouvrir le venter de la mère car le chirurgien est débutant. Le chirurgien rate une coup de ciseau et touche le visage de l'enfant. Les médecins arrivent enfin à sortir l'enfant mais manquent de l'étouffer avec le cordon. Le smédecins sauvent l'enfant de justesse. L'enfant ne peux pas respirer seul. Les médecins sont pessimistes. Les médecins préviennent le père déjà mal en point par la décès de sa femme.
Voilà comment tout à commencer pour Kouta. Mais rien ne se passe jamais comme il le faut avec lui. Le destin ne signifie plus rien quand il est là. Car voilà la suite de son histoire :
Le père de l'enfant prit une décision douloureuse ce jour-là. Il décida de se suicider. il était dans un hôpital, les médicaments ne manquaient pas. Il prit une boîte au hasard et l'avala dans les toilettes.
De son côté, l'nfant sur le point de mourir changea son destin, avec celui de plusieurs autres. Il hurla à plein poumons dans la salle des nouveaux-nés en mauvaises postures. Il hurla tellement fort, qu'il poussa d'autres enfants à faire de même. Il respirait. Ils respiraient tous. L'enfant avait hurlé au même moment où son père avait perdu la vie. Exactement au même moment. A croire qu'il n'attendait que ça pour vivre lui même.
Cependant, Kouta n'étais pas seule. il avait une petite soeur de onze mois. A croire que ses parents n'avaient attendu que ça pendant la première grossesse. Ils furent donc tout deux recueillis par une famille noble qui n'avait malheureusement pas la possibilité d'avoir des enfants. Peut-être à cause de leur homosexualité. Il a déjà été prouvé à plusieurs reprises qu'il était difficile d'avoir des enfants à deux hommes.
Les enfants furent donc bien éduqués dans un cadre familial plein d'amour et de tendresse. Kouta protégeait sa grande soeur comme s'il avait été l'aîné. ils n'avent même pas un an de différence !
Lorsqu'ils eurent tous deux quatorze ans, ils ne se quittaient plus. On aurait dit des jumeaux de par leur ressemblance. Ils étaient vraiment très beau. Ils avaient été élevé dans un grand amour. Ils étaient souriants, ne vivant que pour l'autre. pourtant, un jour, le destin frappa fatalement. Ce jour là, c'est encore Kouta qui aurait du mourir. Lorsqu'ils traversèrent une rue déserte, ils tombèrent dans une sorte de défi entre deux personne. Ils étaient de deux clans différents. Kouta tirait sa soeur par la manche. Elle fut la première à voir l'arme jaillir de la manche d'un type. C'était une sorete dépée. Quelque chose qu'elle n'eut pas bien le temps de maîtriser. L'homme armé beugla à l'autre que c'était son territoire et qu'aucun intru n'avaient le droit d'y pénétrer. La nuit était lourde. Quand la jeune fille vu l'épée bondir sur son frère, elle hurla le nom de celui-ci tout en le poussant au sol. Kouta ne vit qu'une chose. il était allongé sur le dos, Le haut du corps relévé sur ses avants-bras. Ce qu'il vit, c'était le sang qui sortait de la bouche de sa soeur pour couler dans son cou. C'était les yeux pleins de terreurs et déjà sans vie. C'était la lame qui avait traversée le corps de la jeune femme. Ce qu'il entendit dans ce silence de mort, ce fut :
"Je t'aime petit frère...je t'aime plus que tout"
Les larmes avaient alors coulées le long des joues du garçon tandis que le corps de sa soeur tombait au sol. Il ne larmoya pas dessus. Non, ce qu'il fit fut à la fois plus noble et plus dangereux. Plus fou et plus impossible. Dans un hurlement de rage, il abbatit son poings dans le visage de l'assassin qui tomba sous le choc, le nez fracturé. Il avait quatorze ans, l'assassin non, lui, il en avait plus. Pourtant, il ne parvint pas à arrêter un seul des coups de la fureur de Kouta. Lorsque ce dernier sentit l'assassin ne plus rien faire pour éviter les coups, il constata que celui-ci avait le visage, le cou et le torse en sang. Il n'avait pas tué sa victime, il lui avait labouré tout le haut du corps, il l'avait massacrée. Elle ne ressemblait plus à un humain.
Après cet épisode de sa vie, Kouta s'est renfermé sur lui même. Il a renfermé tout ses sentiments dans une petite boîte, en s'en est inventé d'autres le jour, à gardé sa fureur pour la nuit, et dans le corffret de son coeur, il a enfermé sa douleur, son chagrin et sa tristesse.
x.Kibasen School.x
Comment as-tu connu le forum ? Bah, l'une des créatrices nulles en orthographe m'a dit qu'elle avait crée ça, j'ai corrigé l'histoire, et du coup, j'me suis inscrit.
Sujet: Kouta Dey, le destin qui change 
Jeu 31 Mai - 20:07
